plan de rechange

La pluie avait enfin cessé, se qui renderait la recherche plus facile. Belendor avait d'abord pensé aller retrouver Cybèle chez les Helda, mais il n'avait pas pu, trop embarrassé de ne pas lui avoir débarrassé de l'hudre. Ils n'avaient jamais trouvés un assé gros groupe pour attaquer l'hudre, et lorsqu'ils en avaient un, s'était pour autre chose... Bref, Belendor se souvenait encore très clairement se qu'avait réussi le scientifique en faisant repousser le bras de Katrak. Cette démonstration avait convaincu le sylvarois de retourner le voir. Mais cette fois, se serait dans le but d'améliorer l'état de Cybèle, qui était maintenant critique.

'' Et si cela ne fonctionne pas, j'irai voir Adèle, puisqu’il semble pouvoir tout faire. Peut être que Postiche pourrait aussi y faire quelque chose...''

Belendor parti ses recherches de la chapelle sylvaroise, il allait passer par le château, la plaine, l'auberge, la forteresse, puis répéterait le tracé, en demandant aux travailleurs s'ils n'avaient pas vus l'un des trois.

Enfin, la pluie avait cessé! Karzen alla a sa tente, pour changer de chemise évidement, parce que celle qu'il portait était tremper et inconfortable. Une fois changer, il ferma sa tente, puis balaya la pleine du regard afin de trouver quel qu'un de la meute, mais ne trouva personne. Il n'avait pas revu son ami Belendor après l'assaut du gibet sur sir de la roche piquette, alors il décida de ce mettre a sa recherche.

Karzen ajusta son arc dans son dos, attacha son carquois remplis de flèches à sa ceinture puis empoigna son épée à deux main et il couru en direction de l'auberge, mais n'y trouva pas celui qu'il cherchait. Il reprit alors sa course à travers les bois en direction de la forteresse, qui était déserte à cette heure là. Karzen ce remit donc a courir en direction de la chapelle sylvaroise dans l'espoir d'y trouver son ami. Une fois sur place, il scruta les lieux et aperçu un homme marchant prêt du château.

Il reconnu Belendor et l'interpella à l'aide du cri de la meute. Suite à cela, Karzen sorti du bois et se dirigea vers Belendor. Il semblait chercher quel qu'un ou quel que chose. Il le salua puis une fois qu’il fut à ses coter, il s’adressa à lui.

-Alors mon ami, comment va tu? Que fait tu à errer prêt du château? Je peut t’aider si tu le souhaite, si cela est possible bien sur.

Au cri qu'il entendit derrière lui, Belendor se retourna et, voyant Karzen venir à la course, il l'attendit.

- Hey, tu as un arc toi? Bon, ça peut être utile... Excusez-moi! Un gnome avec des pouvoirs magistrales ça vous dis quelque chose? Merci quand même...

Le travailleur matinal passa devant lui, continuant son boulot. Belendor fit un tour sur lui même, regardant par le fait même tous les alentours. Il pensa que Postiche ne sortirait certainement pas avant midi, donc Adèle et le scientifique serait les deux les plus faciles à trouver.

- J'irai bien seulement lorsque Johanniel n'aura plus cet œil de malheur et lorsque l'hudre sera mort, en attendant, cherchons.

Les 2 sylvarois avancèrent encore un peut avant que Belendor reprenne.

- Donc, on trouve sois Adèle, sois le Scientifique, ou même mieux, Postiche, et on espère qu'un des 3 aient un moyen de sauver Cybèle... Et si il n'y a absolument rien qui fonctionne, et bien on ira au cimetière, tout les guerriers sylvarois ensemble, et on fait en sorte que lui non plus n'est plus d'avenir...

Après des recherches infructueuses, le guerrier laissa tomber, et parti vers son petit chez sois. Belendor prit un repas rapidement puis se dirigea chez les Helda. Il n'osa pas entrer voir Cybèle puisqu'il n'avait pas envie de voir les frères de Merel. Il décida plutôt de s'agripper à la fenêtre de la chambre de la prêtresse. Il passa sa tête à l'intérieur, et la voir de plus en plus près de la mort lui confirma son choix.

- Notre meute sans prêtresse ne peut perdurer. Le devoir d'un guerrier est, comme on me l'a montré la première fois, de protéger les prêtres et prêtresses de notre meute à tout prix.

Belendor ne savait même pas si elle pouvait l'entendre, ou encore si quelqu'un d'autre était dans la pièce, mais il continua.

- Nous avons promis aux Ahrimans de faire mieux, et je vais m'y mettre le plus tôt possible Cybèle... Se soir, j'irai au cimetière, seul ou avec ceux qui répondront à mon cri de ralliement. À minuit au plus tard, tu n'auras plus cette bague.

Les bras du petit frère à Longpré commençaient à faiblir sur le bord de la fenêtre.

- Tiens bon, et puisqu'il y a des esprits partout dernièrement, assures-toi que je te dise ''citoyen'' à mon retour... ou sinon, Adieu, Cybèle...

Le guerrier se laissa tomber souplement au sol. Regard déterminé et course effréné, il se dirigea vers chez lui.

Silencieux, Karzen suivait Bélendor de prêt. Il retournait une fois de plus dans la demeure de son ami, sans trop savoir pourquoi. Leur recherche n'ayant porté fruit, Bélendor semblait frustrer par cet échec et c'était complètement refermer sans rien dévoiler de ses intensions. Chose sur, il était déterminer à sauver Cybèle et Karzen l'était aussi. Le guerrier n'avait jamais rencontré l'hûdre, enfin, une fois, mais c'était seulement le soir où il faisait la cour à Cybèle et il était passif cette fois là. Il ne l'avait jamais vu combattre mais pour sur il ne laisserait jamais son ami aller l'affronter seul comme il l'avait laissé entendre en parlant à Cybèle. Une fois arrivé au pas de la porte, Karzen entra dans la maison à la suite de Bélendor. Il déposa son arc prêt de lui, au cas où il aurait à l'utiliser rapidement et il décrocha son carquois, le déposant juste à coter de son arc. Le manche de son épée gisait toujours au creux de sa main. Puis les deux hommes s'assirent a table. Karzen en profita pour questionner un peut son ami.

-Alors que compte tu faire a présent. Nous recherche on été veine et tu ne pourra terroriser cet être maléfique seul. Je propose que l'on regroupe le plus grand nombre de guerrier possible qu'on en finisse au plus vite avec lui et avec le moins de perte possible sur notre quand. C’est pour sa que ce sera mieux en groupe mais avant que l'on fasse quoi que ce soit, j’aimerais en connaitre plus sur cet hûdre qui cause le plus grand malheur a notre très cher Cybèle. Quel est l'étendu de c'est pouvoir? Est-ce un bon combattant? Ce genre de chose tu voies?

Belendor sorti de sa torpeur. Il ria sans réel conviction en écoutant son ami d'enfance.

- Le terroriser? Attend, c'est lui le monstre, pas moi. La dernière fois, il était en feu et ça ne semblait pas le déranger. Ah et c'est justement ça le problème, Raphaël et Christophe ne veulent plus venir, les slanns doivent forcément tous être saoul en se moment, ou alors ça ne les ''concerne'' pas... Il y'aurait les Tempussiens, mais à ma connaissance, personne n'a encore revu Ternès et Bartélémis...

Belendor repensa au combat contre l'hudre.

- Son point faible est le soleil, nous devrions nous dépêcher si nous voulons un petit avantage. On devrait avoir une bonne heure avant que la nuit apparaisse. Il est un bon escrimeur, mais le point faible le plus important reste ses sentiments car en faite, il aime encore Cybèle, j'en suis sûr... Il a juste une âme en peine et il croit que la vengeance est la solution. Seulement que là-bas, le temps passe beaucoup plus lentement, ça doit faire des années qu'il la fait souffrir...

Parler commençait à fatiguer le guerrier, qui s'était levé pour se préparer à sa soirée. Il rentra dans une petite pièce, là où il entreposait ses armes. Il prit ses outils de combat habituel : son épée qu'il glissa dans son fourreau, 2 dagues qu'il plaça à sa ceinture et ses 2 épées courte qu'il allait tenir dans ses mains. Il retourna dans la salle principale et prit 2 objets sur un bureau dans le coin de la pièce : La goutte d'eau corrompu ainsi que l'antédiluvienne. Il jeta un coup d'œil à Karzen avant d'ajouter :

- j'ai plus d'un tour dans mon sac, allons-y maintenant.

Le guerrier sortit en se dirigeant avec un pas rapide vers la plaine tout près du château.

Sur la plaine, ils purent croiser un Merel avec son épée au fourreau. Lorsque celui-ci croisa les deux guerriers Sylvarois et qu'il remarqua leur équipement, et surtout, la direction qu'ils prenaient, il su aussitôt ce qu'ils s'en allaient faire.

- ''On y arrivera pas à uniquement nous trois, on était plus la dernière fois et il nous a eu.''

Belendor eu un légé sourire en voyant Merel venir à eux. Sylvar était de leur côté se soir.

- La dernière fois, nous ne le connaissions à peine, la dernière fois, il nous a pris par surprise et nous ne nous étions pas battus tous côte à côte. La dernière fois, Cybèle n'étais pas entre la vie et la mort. Se soir, nous lui rendrons un dogme qui lui a été arraché de force : La liberté. Souviens-toi Merel, nous avons promis de faire plus aux ahrimans, et ça concerne nos combats aussi, nous sommes adossé au mur, on ne peut plus faire marche arrière, on doit foncer.

Belendor regarda autour d'eux. Les travailleurs rentraient peut à peut chez eux, il fallait faire vite.

- Aller, un cri de meute à 3 guerriers sylvarois, ça ne peut pas être plus épique.

Belendor laissa tomber ses deux épées courte pour monter un peut plus haut dans un arbre.

- Vous êtes prêt? GO!

Il commença son cri de ralliement.

Merel demeura surpris devant la résolution inébranlable de Belendor. À ses paroles, il demeura bouche-bée un instant, puis, lorsque celui-ci monta dans l'arbre, Merel baissa la tête.

* Il a raison... il faut nous battre. Nous devons essayer de vaincre l'hudre. Cybèle souffre... il faut rapatrier des gens, mobiliser des soldats. Si ça tourne mal, on aura qu'à battre en retraite et revenir avec encore plus de personnes, il va bien s'affaiblir à la longue! Bon sang, je n'arrive pas à croire que j'étais réellement en train de perdre espoir... je ne peux pas abandonner Cybèle! Elle souffre... allez Merel, relève-toi, merde, tu t'es promis de ne plus jamais baisser les bras et d'être toujours plus fort qu'avant! *

À cette pensée, Merel releva aussitôt la tête alors que Belendor faisait un appel de la meute. Merel ne monta pas le rejoindre dans l'arbre, mais se tint droit, juste devant celui-ci, prêt à accueillir chaque personne prête à se battre pour retrouver la santé et la liberté de Cybèle... de sa douce. Puis, Merel eut une idée. Il se retourna vers Belendor.

- ''Belendor, rassemblons tous ceux qui veulent se battre pour aider Cybèle, notre prêtresse, et annonçons leur une attaque demain au zénith, lorsque le soleil est à son plus haut. D'ici là, je vais m'arranger pour essayer de mobiliser quelques soldats de la milice des Terres d'Argent dont je suis capitaine. Nous aurons la meilleure condition environnementale et une plus puissante force de frappe!''

Merel tenait plus que tout à sauver Cybèle, mais si la laisser souffrir une nuit de plus était ce qu'il fallait pour faire la différence entre la réussite et l'échec, pour qu'elle en soit débarassée à tout jamais, Merel était prêt à prendre ce risque.

- ''Je sais que tu étais prêt à y aller maintenant, mais ça vaut le coup d'attendre une nuit de plus pour profiter du moment idéal!''

Après avoir dit cela, il se retourna, prêt à accueillir avec vigueur, charisme et gratitude chaque personne tenant à se battre pour Cybèle.

- AHOUUUUUUUUUUUUU! Guerrier d'Emlok, VENEZ! MAINTENANT! AHOU...

Belendor se pencha pour bien voir et écouter Merel. L'idée d'attendre ne plaisait pas au guerrier, mais il dût admettre que c'était probablement la bonne solution. Le soleil baissait dangereusement, ils auraient dût se préparer avant... Belendor sauta au sol, toujours aussi motivé par le moment.

- Quelques? Le maximum possible tu veux dire! Cybèle fait parti intégrante des terres d'argent! Elle enseigne aux habitants, toujours prête à aider et surtout : Elle dirigeait ses terres avant de les céder volontairement à Sir Delaroche-Piquette. Penses-tu que son ancienne milice la laisserait mourir? En plus tu es leur capitaine, donc motive-les!

Belendor pensa à quelques trucs qu'il aurait le temps de faire avant le zénith du lendemain.

- Je suis d'accord pour demain au zénith, mais prêt ou pas, on ira! D'ici là, tu fais ton armée, et moi, la mienne! Euh Karzen? Tu pourrais convaincre les guerriers des alentours? Moi, je me débrouillerai pour arriver à temps...

Belendor recula un peut avant de repenser à l'état de Cybèle.

- Merel? Le bracelet, donne-le à Cybèle, elle se sentira mieux, si tu veux je peux aller lui porter, je vais passer par là

un sourire au coin des lèvres, Katrak voyais les jeunes s'activer aussi brutalement. peut-être allait-il réussir a en faire quelque chose, de ce petit Bélendor. Il approcha, et réalisa qu'ils parlais du nuisible, de l'huldre. sentant automatiquement sa colère monter, et pris une démarche beaucoup plus volontaire et approcha le groupe.

avant que qui que ce soit ne lui ai parlé, il dit:

Le feux. il faut Bénir le cimetière, le foutre en feux, et bénir ses cendres. c'est Cybèle elle même qui m'as montré les écrit. c'est comme ça. je vais chercher Kya, elle m'en dois une ou deux. et les prêtresse tempussienne, j'en fais mon affaire.

Il nous manque Sylvar, et côté prêtresse, on est un peu a court. je vais voir ce que je peut faire.

Pour le feux, apporté toute les torchère que vous voyez, celle qui nous montre le chemins la nuit. le produit a l'intérieur, ça va faire.

si vous voulez de la frappe, faite moi confiance, on va en avoir. Les Slann me suivront surement, ou du moins, si je les convint.

Il Attendais, avec une impatience plus que visible, que les autres se mettent d'accord avec le plan de match, pour partir allez chercher les autre effectif, ceux qui manquaient pour l'instant.

Merel regarda Katrak arriver et le salua aussitôt que celui-ci fut tout près. C'est alors qu'il commença aussitôt à déblatérer ce qu'il fallait pour tuer l'Élu. Merel s'en sentit un peu irrité, mais rien de plus.

* Comme si je ne savais ce qu'il fallait faire pour sauver mon amoureuse... *

Mais Merel fut bien content d'entendre que Katrak comptait aussi aller chercher des gens. Merel avait déjà des plans depuis quelques temps, des plans qu'il n'avait préféré pas trop mettre au public, mais il savait que les dire maintenant renforcirait leur optimiste et leurs espoirs, alors il le fit.

- ''Parfait, de mon côté, James Valentin me doit une paye et Kastiel un service. Grâce à cela, je sais que je vais réussir à réunir les mages. Il s'agit là de James l'illusioniste, son apprentie, Kastiel l'enchanteur et Marc-Alexandre le destructeur. Leurs atouts magiques sont définitivement considérables et peuvent faire une différence majeure dans la bataille. Avec la milice des Terres d'Argent, les Slanns et les Sylvarois, et les prêtresses Tempussiennes, rien ne pourra nous arrêter. Je pars maintenant au manoir de James Valentin, je passerai voir Cybèle pendant que j'y suis pour m'informer de son état, je vous le rapporterai. Katrak, pars tout de suite voir les slanns, Karzen, va voir si tu ne peux pas trouver d'autres guerriers et autres personnes aptent à se battre, Belendor, reste ici et continue d'attrouper le plus possible les gens. Plus nombreux nous serons, mieux ce sera. Partons maintenant!''

À ces mots, Merel partit à la course, se dirigeant directement vers les Terres d'Argent, là où les maisons se trouvaient.

Après un bref salut de tête, Katrak parti en direction de l'auberge, à la recherche des gens qu'il recherchais.

L'esprit tourmenté, il réfléchi à ceux qui s'étaient sous sa protection. pendant son départ, personne ne s'était occupé d'eux, et maintenant, il devait tout faire. Encore une fois, faire confiance aux autre s'avérait une idée absolument stupide.

il dit, a voix basse, se dirigeant vers l'auberge:

Encore une fois, je dois m'occuper de tout, et personne ne va réaliser que c'est de moi. foutu merde.

Belendor ne bougea pas jusqu'à-ce que les 2 guerriers quittent la plaine. Il avait vite perdu le contrôle de la situation...

* Équité? C'est ça oui... il y a des trucs qui ne pourra jamais changer, sauf si on les force à le faire...*

Le ciel était presque éteint. Belendor se retourna tranquillement vers la torche la plus prêt. Il l'enleva du sol. Jetant un coup d'œil à la réaction de Karzen, il commença à marcher vers le chemin qui menait au cimetière.

* Je vais me la faire ma place, moi.*

Une personne était appuyer sur un arbre pas très loin du cimetière, les bras croisé et la tête caché par une capuche, elle regardait vers le bas sans bouger

La route vers le cimetière était bien lugubre aux yeux de Belendor. Comme en transe, il fredonnait lentement la chanson funèbre qu'ils avaient chantés lors de l'entèrement de Merel. Épée à la main, une torche à l'autre, Belendor sursauta en voyant un homme sur la route. Il fut d'abord persuadé que c'était l'hudre. mais il reconnut rapidement son frère ainée. Il s'approcha, ne schant comment lui parler des derniers évènements.

- Les temps sont dures, beaucoup trop...

Il s'appuya à un arbre face à lui. Il pensa un moment avant de poursuivre.

- Lorsque nous sommes arrivé, lors de mon premier séjour à Emlok, tu m'avais bien dit le rôle du guerrier face aux prêtres sylvarois, ça tiens toujours?

Belendor leva la tête vers Longpré. Il pouvait bien voir que son petit frère était perdu, et blême.

Longpré, sans broncher répondit froidement:

-De mon point de vue, non... C'est Sylvar que nous servons, pas la volonté de ses prêtres mais rien ne nous empêche de les aider si ils sont dans le droit chemin.